- Frappe-moi ! suppliai-je. De concert, je trouvai l’amour et le courage d’énoncer mes plus perverses ambitions. De tendresses en supplices, Monsieur vint sceller mon appartenance. Je devins sienne dans le vice et la passion si bien que notre amour sublime désormais notre pratique du BDSM. Ou serait-ce l’inverse ? Quoiqu’il en soit, je n’ai de plus grande fierté que celle de servir l’homme que j’aime.
Si 'la liberté est la connaissance des causes qui nous déterminent', on est plus libre en décidant d'être attachée qu'en se croyant affranchie de tout - comme si c'était possible. Certains aiment les parures pour ce qu'elles sont, d'autres pour les retirer, les souiller, les goûter. L'idée d'un sentiment de liberté est voisine. Et si l'amour était la transformation de la vulnérabilité en puissance ? Et si c'était par le cul que l'esprit s'ouvrait ?